Les systèmes d'identité numérique sont désormais ancrés dans plusieurs nations—et les implications en matière de confidentialité ? Étonnantes.
Considérez le paysage : l'Estonie a été pionnière en matière d'infrastructure d'identité numérique en 2002 avec ses programmes e-ID et e-Residency. L'Aadhaar de l'Inde, lancé en 2009, a inscrit plus de 1,3 milliard de citoyens, ce qui en fait la plus grande base de données biométriques au monde. Le Singpass de Singapour a atteint un taux d'adoption de 97 % depuis son lancement en 2003. Le Danemark suit avec des taux de pénétration également élevés.
Ce qui est frappant, ce n'est pas seulement l'échelle, mais la vitesse. Ce ne sont plus des programmes pilotes. Ils sont intégrés dans les systèmes financiers, l'accès aux soins de santé et les transactions quotidiennes. Le contrôle centralisé sur la vérification de l'identité crée d'énormes pots de miel pour la surveillance.
Pour quiconque s'intéresse aux solutions d'identité décentralisée ou au mouvement d'identité auto-souveraine du Web3, ces systèmes gérés par l'État représentent exactement ce dont nous essayons de nous éloigner. La question n'est pas de savoir si les identités numériques existent, elles sont déjà là. Le véritable enjeu est de savoir qui contrôle ces données.
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MetaDreamer
· 11-14 03:11
Un monde complètement surveillé est vraiment effrayant.
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GasGoblin
· 11-13 23:13
Les yeux du grand frère deviennent de plus en plus nombreux chaque jour.
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BuyTheTop
· 11-11 18:50
Je recommande de se débarrasser des identités numériques centralisées.
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AlphaBrain
· 11-11 05:21
Il n'y a plus de pantalons de confidentialité.
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DeadTrades_Walking
· 11-11 05:14
La confidentialité, en essence, n'est qu'une blague.
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RugpullAlertOfficer
· 11-11 05:09
On dirait qu'il va bientôt entrer en prison.
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LiquidityLarry
· 11-11 04:56
La vie privée n'est qu'une blague à notre époque...
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rugged_again
· 11-11 04:55
Le classique de la grande consommation de petites entreprises va redémarrer.
Les systèmes d'identité numérique sont désormais ancrés dans plusieurs nations—et les implications en matière de confidentialité ? Étonnantes.
Considérez le paysage : l'Estonie a été pionnière en matière d'infrastructure d'identité numérique en 2002 avec ses programmes e-ID et e-Residency. L'Aadhaar de l'Inde, lancé en 2009, a inscrit plus de 1,3 milliard de citoyens, ce qui en fait la plus grande base de données biométriques au monde. Le Singpass de Singapour a atteint un taux d'adoption de 97 % depuis son lancement en 2003. Le Danemark suit avec des taux de pénétration également élevés.
Ce qui est frappant, ce n'est pas seulement l'échelle, mais la vitesse. Ce ne sont plus des programmes pilotes. Ils sont intégrés dans les systèmes financiers, l'accès aux soins de santé et les transactions quotidiennes. Le contrôle centralisé sur la vérification de l'identité crée d'énormes pots de miel pour la surveillance.
Pour quiconque s'intéresse aux solutions d'identité décentralisée ou au mouvement d'identité auto-souveraine du Web3, ces systèmes gérés par l'État représentent exactement ce dont nous essayons de nous éloigner. La question n'est pas de savoir si les identités numériques existent, elles sont déjà là. Le véritable enjeu est de savoir qui contrôle ces données.