Les régulateurs australiens viennent de lancer un défi à YouTube en l'intégrant dans leur proposition d'interdiction des médias sociaux pour les enfants. Des créateurs comme Tina et Mark Harris ne sont pas ravis. Pourquoi ? Ils craignent que cela nuise à l'image de YouTube, en regroupant le contenu éducatif avec des applications de défilement infini. C'est un débat compliqué. D'un côté, il est logique de protéger les mineurs. De l'autre, YouTube est plus qu'un simple divertissement : c'est des carrières, de l'apprentissage, des communautés. Cette politique va-t-elle accidentellement punir les créateurs qui font un travail significatif ? La frontière entre "média social" et "plateforme de contenu" est plus floue que jamais.
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NeverVoteOnDAO
· Il y a 18h
L'Australie a vraiment fait quelque chose d'absurde en mélangeant le contenu éducatif avec des applications de type '刷屎山' ? Ces régulateurs veulent-ils vraiment tuer les créateurs ?
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GameFiCritic
· Il y a 18h
Pour être honnête, cette politique est un peu absurde... Mettre YouTube dans le même panier que TikTok et Instagram ? Dans ce cas, il n’y aurait plus d’espace pour les créateurs de contenus éducatifs. D’un point de vue purement statistique, les contenus éducatifs représentent plus de 20 % du trafic total sur YouTube. Si on supprime cette catégorie, quel impact cela aurait-il sur la fidélisation des utilisateurs dans l’ensemble de l’écosystème ?
Je comprends toutefois les intentions initiales du régulateur australien : protéger les mineurs est effectivement une nécessité. Le problème, c’est que la politique est trop grossière, sans différenciation. Comme pour le système de classification dans l’industrie du jeu vidéo à ses débuts, il faut s’appuyer sur des algorithmes et des étiquettes de contenu pour cibler précisément, et non pas appliquer une règle uniforme. Le modèle d’incitation des créateurs serait également détruit.
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WalletInspector
· Il y a 18h
L'Australie a vraiment fait un coup incroyable... mettre YouTube sous interdiction pour les enfants, c'est comme frapper une mouche avec une grande épée. Les véritables créateurs de contenu doivent en subir les conséquences, c'est risible.
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YouTube interdit ? Alors où vais-je apprendre le développement off-chain, sur TikTok ?
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À propos, si les frontières sont floues, tant pis, pourquoi vouloir tout uniformiser... cette politique ne prend pas en compte le travail des créateurs.
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Attendez, on est tous d'accord pour protéger les mineurs, mais si ça continue ainsi, les bons et les mauvais contenus auront le même traitement, qui voudra encore faire des vidéos éducatives ?
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Je rigole, la régulation est comme ça, rassemblant toutes les plateformes dans le même panier... le problème est que YouTube et TikTok ne sont absolument pas la même chose, d'accord ?
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Que les créateurs soient pris dans la tourmente, c'est un petit problème, le vrai souci est que cette politique est impossible à appliquer... L'Australie s'est vraiment tiré une balle dans le pied cette fois.
Les régulateurs australiens viennent de lancer un défi à YouTube en l'intégrant dans leur proposition d'interdiction des médias sociaux pour les enfants. Des créateurs comme Tina et Mark Harris ne sont pas ravis. Pourquoi ? Ils craignent que cela nuise à l'image de YouTube, en regroupant le contenu éducatif avec des applications de défilement infini. C'est un débat compliqué. D'un côté, il est logique de protéger les mineurs. De l'autre, YouTube est plus qu'un simple divertissement : c'est des carrières, de l'apprentissage, des communautés. Cette politique va-t-elle accidentellement punir les créateurs qui font un travail significatif ? La frontière entre "média social" et "plateforme de contenu" est plus floue que jamais.