#美联储降息 La Réserve fédérale (FED) a tenu en décembre une réunion rare et "divisée" - parmi les 12 membres votants du FOMC, 5 ont voté contre une baisse des taux, ce qui n'était pas arrivé depuis 2019. À voir l'attitude de Powell, il semble vouloir imposer une baisse des taux de 25 points de base, mais quel en est le coût mérite d'être suivi.
Le cœur du problème réside dans les divergences d'interprétation des données sur l'emploi. La déclaration officielle est que la croissance de l'emploi ralentit, mais la question clé est floue : est-ce que la demande de main-d'œuvre est faible (ce qui justifierait une baisse des taux d'intérêt) ou est-ce que la diminution de l'immigration entraîne une contraction de l'offre (ce qui s'oppose à une baisse des taux d'intérêt) ? Les orientations politiques dans les deux cas sont diamétralement opposées.
Il est d'autant plus préoccupant que le risque de "stagflation" refait surface. La fermeté des prix combinée à un refroidissement du marché du travail, ce compromis n'a pas été observé depuis des décennies. Les leçons des années 1970 sont claires : la méthode d'opération hésitante de La Réserve fédérale (FED) a enraciné l'inflation élevée. Le risque de répéter cette erreur est en hausse.
D'un point de vue on-chain, les attentes de liquidité sont la clé. Si le signal d'expansion du bilan est confirmé (achat de 45 milliards de dollars de bons du Trésor à court terme par mois), cela impactera directement les flux de capitaux. Mais ne vous laissez pas tromper par la baisse des taux apparente - le véritable signal réside dans le changement d'attitude de la Réserve fédérale (FED) concernant la volonté de baisser les taux à l'avenir, ainsi que dans la restructuration du cadre politique en 2026. Le mandat de Powell se termine en mai prochain, et les déclarations lors des trois prochaines réunions refléteront mieux la direction que la décision de ce soir. La correspondance entre les données et les mouvements des baleines est le critère de jugement.
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#美联储降息 La Réserve fédérale (FED) a tenu en décembre une réunion rare et "divisée" - parmi les 12 membres votants du FOMC, 5 ont voté contre une baisse des taux, ce qui n'était pas arrivé depuis 2019. À voir l'attitude de Powell, il semble vouloir imposer une baisse des taux de 25 points de base, mais quel en est le coût mérite d'être suivi.
Le cœur du problème réside dans les divergences d'interprétation des données sur l'emploi. La déclaration officielle est que la croissance de l'emploi ralentit, mais la question clé est floue : est-ce que la demande de main-d'œuvre est faible (ce qui justifierait une baisse des taux d'intérêt) ou est-ce que la diminution de l'immigration entraîne une contraction de l'offre (ce qui s'oppose à une baisse des taux d'intérêt) ? Les orientations politiques dans les deux cas sont diamétralement opposées.
Il est d'autant plus préoccupant que le risque de "stagflation" refait surface. La fermeté des prix combinée à un refroidissement du marché du travail, ce compromis n'a pas été observé depuis des décennies. Les leçons des années 1970 sont claires : la méthode d'opération hésitante de La Réserve fédérale (FED) a enraciné l'inflation élevée. Le risque de répéter cette erreur est en hausse.
D'un point de vue on-chain, les attentes de liquidité sont la clé. Si le signal d'expansion du bilan est confirmé (achat de 45 milliards de dollars de bons du Trésor à court terme par mois), cela impactera directement les flux de capitaux. Mais ne vous laissez pas tromper par la baisse des taux apparente - le véritable signal réside dans le changement d'attitude de la Réserve fédérale (FED) concernant la volonté de baisser les taux à l'avenir, ainsi que dans la restructuration du cadre politique en 2026. Le mandat de Powell se termine en mai prochain, et les déclarations lors des trois prochaines réunions refléteront mieux la direction que la décision de ce soir. La correspondance entre les données et les mouvements des baleines est le critère de jugement.